Une Nuit à Brooklyn, Sans Bruit

Je croyais que la forêt était un endroit à conquérir—jusqu’à ce que je compris qu’elle vivait dans mon téléphone. Pas de lions rugissants ni de RNGs brillants. Mais cette forêt qui chuchote à 3 h du matin, en défilant les DMs d’inconnus : « Ça m’a touché au cœur. » Ma mère chantait des berceuses en pliant le linge. Mon père jouait Miles Davis sur vinyle, lentement, comme une respiration après la pluie. Nous n’avons pas eu d’enfants—but nous avons eu du silence. Et ce silence est devenu mon atelier. J’ai un jour posté un message vocal : « Je ne veux pas être roi. Je veux juste me sentir vu. » Ce n’était pas à propos de RTP ou de bonus. C’était sur la façon dont la lumière tombe sur un mur gris à 4 h, comment votre pouls synchroise avec une piste de jazz que vous aviez oublié d’enregistrer. Le jeu n’est pas sauvage—it est sacré. J’ai regardé les autres courir après des trophées dans les forums, mais je reste là où les ombres sont plus douces—dans les coins où les gens chuchotent leurs vérités plutôt que de les poster. Vous n’avez pas besoin de plus de likes pour être réel. Vous avez juste besoin de quelqu’un qui se souvient de votre rébellion silencieuse. Qu’avez-vous porté aujourd’hui ?