Le Jeu Qui M'a Sauvé

Je ne conçois pas des jeux pour gagner.

Je les crée pour guérir.

Chaque pixel porte le poids d’un souffle inavoué — un murmure à minuit, l’écho d’une forêt après la dernière lumière. J’ai grandi seul avec des chats et des journaux comme ancrages émotionnels, observant les créatures sauvages traverser des RTPs qui ne mentent pas. La jungle n’est pas un niveau à conquérir — c’est une cathédrale où le trauma devient rituel.

Je me souviens d’un joueur qui a écrit : « Mon premier gain ressemblait au silence. » Pas de victoire — seulement le retour du souffle après des semaines à travers des couloirs vides.

Ils n’étaient pas venus pour du butin.

Ils sont venus parce qu’ils avaient besoin de se sentir voir.

Dans « Beast King Glory », nous ne classons pas les joueurs par leurs scores — nous les honorons par les histoires partagées dans l’ombre. La « Forest Key » n’est pas un code à déverrouiller — c’est une invitation à rester silencieusement avec votre chagrin jusqu’à ce qu’il devienne sacré à nouveau.

Mes outils sont des paragraphes clairsemés sous 80 mots. L’espace blanc respire. Les couleurs ? #FFA500 pour la chaleur ; #1E90FF pour les vide qui retiennent la mémoire.

Pas d’publicité.

Seule une monnaie d’âme : Patreon soutien qui dit : « Je te vois. »

Ce n’est pas un design de jeu indépendant.

C’est de l’archéologie émotionnelle.