L'Abri Surréal des Lapins

Je ne conçois pas des jeux pour devenir riche, mais pour vous faire sentir vu. À minuit, dans mon atelier avec les chats sur les claviers et la lumière néon baignant dans le vide #FFA500 et #1E90FF, j’écoute — non pas les algorithmes RTP ou RNG — mais les histoires des joueurs. « Mon lapin a gagné 200 $… puis a arrêté car elle a oublié ce que c’était que d’être heureuse. » Cela n’est pas chance. C’est la solitude transformée en rituel. Nous l’appelons « Abri Animal » — pas « Casino ». Les porcs ne sont pas des mascottes ; ils sont des survivants des nuits sans somme. Les lapins ne dansent pas pour les clics ; ils tremblent dans le silence après le dernier tour, attendant qu’on dise : « Était-ce tout ? » Je use la couleur comme une respiration. L’espace blanc n’est pas vide — c’est la pause entre deux battements de cœur. Chaque tir gratuit ? Un cadeau de quelqu’un qui avait besoin d’être tenu. Pas d’annonces. Pas de coffres loot. Juste un journal ouvert à 3h par une fille qui croit encore que la joie peut vivre au-delà de la victoire. Vous n’êtes pas un joueur. Vous êtes celui qui est resté. Et quand personne d’autre ne l’a fait… vous êtes le dernier pixel inachevé.